Résumé : fr
Avant les échéances municipales de 2020, un retour sur le scrutin
précédent permet de dessiner les grands traits du paysage électoral
observé à Nantes en 2014. L’élection avait été marquée par une très
forte abstention et par la victoire, au second tour, de la liste de
rassemblement conduite par J. Rolland. Quelques jours plus tard et par
un drôle de paradoxe, le maire sortant souvent considéré comme un
artisan du renouveau nantais, J.-M. Ayrault, devait démissionner de
son poste de Premier Ministre en raison de la défaite enregistrée par
la gauche au plan national.