classes populaires
Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
par Jean Rivière et Christophe Batardy
publiée le : 14 mars 2022
Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
Résumé : fr
À Nantes comme dans la plupart des métropoles attractives, l’embourgeoisement ou la gentrification de l’espace urbain sont de plus en plus évoqués dans le débat public local, tout comme leurs effets en matière d’exclusion des classes populaires à mesure que les prix de l’immobilier augmentent. Dans le prolongement de la lecture évolutive des divisions socioprofessionnelles dans l’aire urbaine, cette planche revient plus en détail sur les quartiers qui connaissent différents types d’embourgeoisement, afin de bien comprendre de quoi il est question.
Jean Rivière et Christophe Batardy, 2022 : « Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ? », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 14/03/2022, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=711, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.711.
Toutes les planches de :
Christophe Batardy- Risques et traces industriels dans la ville
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
- Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (1/2). Une approche par les indices de ségrégation
- La géographie sociale des travailleurs pauvres nantais
- Avant la « voiture pour tous »
- Qui est responsable des inégalités d’impacts écologiques ?
- Comprendre l’abstention par la géographie sociale de Nantes-Métropole
- La victoire de l’Union de la gauche aux élections municipales de Nantes en 1977 : la fin de la « Troisième force »
- Les déchets nantais : exportations et flux cachés du métabolisme urbain
- Les âges dans la ville. Quels clivages démographiques dans l’aire d’attraction nantaise ?
- Importer les conflits d’aménagement sur la scène électorale. La campagne municipale de la liste «Nantes en Commun·e·s» en 2020
- La présidentielle 2022 au microscope. Continuités et ruptures avec le paysage électoral antérieur dans la Métropole
- Un jardin à tout prix ? Acquéreurs de maisons et terrains à bâtir dans l’aire urbaine de Nantes (2000-2012)
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Des configurations électorales en mouvement sous l’effet de la métropolisation (1974-2017)
- Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
- Les mutations de la géographie des prix de l’immobilier résidentiel
- Municipales 2020 à Nantes : un premier tour anxiogène avant confinement
- Quels clivages socioprofessionnels dans la métropole nantaise aujourd’hui ?
- Retour sur le paysage municipal nantais en 2014
- Comprendre l’abstention par la géographie sociale de Nantes-Métropole
- L'Atlas social de la métropole nantaise : le projet
Annexes (1)
Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
par Nicolas Raimbault et Christophe Batardy
publiée le : 31 mars 2022
Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
Résumé : fr
Dans les discours médiatiques et le débat public, les métropoles sont couramment décrites comme l’espace des classes supérieures. Pourtant, les classes populaires qui regroupent les ouvrier·e·s et les employé·e·s, soit près de 13 millions d’actifs en 2017 en France, un nombre globalement stable depuis 1982, représentent encore aujourd’hui la moitié de la population des métropoles françaises. Avec 45 % de sa population appartenant aux classes populaires, l’aire urbaine nantaise ne déroge pas à la règle. Leurs espaces s’inscrivent dans la mosaïque des clivages socioprofessionnels de la métropole nantaise.
Nicolas Raimbault et Christophe Batardy, 2022 : « Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 31/03/2022, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=737, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.737.
Toutes les planches de :
Christophe Batardy- Risques et traces industriels dans la ville
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
- Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (1/2). Une approche par les indices de ségrégation
- La géographie sociale des travailleurs pauvres nantais
- Avant la « voiture pour tous »
- Qui est responsable des inégalités d’impacts écologiques ?
- Comprendre l’abstention par la géographie sociale de Nantes-Métropole
- La victoire de l’Union de la gauche aux élections municipales de Nantes en 1977 : la fin de la « Troisième force »
- Les déchets nantais : exportations et flux cachés du métabolisme urbain
- Les livreurs de repas (1/2) : l’ubérisation d’une fraction des classes populaires nantaises
- À Montbert contre Amazon et son monde, géographie de la mobilisation d’une coalition inédite
- Quand Amazon arrive en ville. Trois nuances de politisation de l’aménagement économique autour de la métropole de Nantes
- Les travailleuses des classes populaires de la métropole nantaise : plus nombreuses que les hommes mais invisibles
- Emplois et lieux de travail des classes populaires de la métropole nantaise : géographie des clivages professionnels et de genre
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
Annexes (1)
Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
par Nicolas Raimbault, Jean Rivière et Christophe Batardy
publiée le : 07 avril 2022
Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
Résumé : fr
En 2017, les classes populaires rassemblent 45 % de la population de la métropole nantaise. Malgré leur nombre, elles tendent à être de moins en moins visibles dans bien des espaces de la métropole. Entre éviction du centre de la métropole, paupérisation des quartiers de logements sociaux et périurbanisation de plus en plus marquée, les classes populaires connaissent des dynamiques résidentielles contrastées.
Nicolas Raimbault, Jean Rivière et Christophe Batardy, 2022 : « Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 07/04/2022, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=747, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.747.
Toutes les planches de :
Christophe Batardy- Risques et traces industriels dans la ville
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
- Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (1/2). Une approche par les indices de ségrégation
- La géographie sociale des travailleurs pauvres nantais
- Avant la « voiture pour tous »
- Qui est responsable des inégalités d’impacts écologiques ?
- Comprendre l’abstention par la géographie sociale de Nantes-Métropole
- La victoire de l’Union de la gauche aux élections municipales de Nantes en 1977 : la fin de la « Troisième force »
- Les déchets nantais : exportations et flux cachés du métabolisme urbain
- Les âges dans la ville. Quels clivages démographiques dans l’aire d’attraction nantaise ?
- Importer les conflits d’aménagement sur la scène électorale. La campagne municipale de la liste «Nantes en Commun·e·s» en 2020
- La présidentielle 2022 au microscope. Continuités et ruptures avec le paysage électoral antérieur dans la Métropole
- Un jardin à tout prix ? Acquéreurs de maisons et terrains à bâtir dans l’aire urbaine de Nantes (2000-2012)
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Des configurations électorales en mouvement sous l’effet de la métropolisation (1974-2017)
- Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
- Les mutations de la géographie des prix de l’immobilier résidentiel
- Municipales 2020 à Nantes : un premier tour anxiogène avant confinement
- Quels clivages socioprofessionnels dans la métropole nantaise aujourd’hui ?
- Retour sur le paysage municipal nantais en 2014
- Comprendre l’abstention par la géographie sociale de Nantes-Métropole
- L'Atlas social de la métropole nantaise : le projet
- Les livreurs de repas (1/2) : l’ubérisation d’une fraction des classes populaires nantaises
- À Montbert contre Amazon et son monde, géographie de la mobilisation d’une coalition inédite
- Quand Amazon arrive en ville. Trois nuances de politisation de l’aménagement économique autour de la métropole de Nantes
- Les travailleuses des classes populaires de la métropole nantaise : plus nombreuses que les hommes mais invisibles
- Emplois et lieux de travail des classes populaires de la métropole nantaise : géographie des clivages professionnels et de genre
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
La métropolisation nantaise au prisme des achats d’appartements (1/3). Des cadres locaux aux « Parisien·nes », une socio-géographie des acheteur·ses
par Étienne Walker
publiée le : 13 mai 2022
La métropolisation nantaise au prisme des achats d’appartements (1/3). Des cadres locaux aux « Parisien·nes », une socio-géographie des acheteur·ses
Résumé : fr
À Nantes comme dans la plupart des métropoles attractives, les tensions sur le marché de l’immobilier, qui produisent des effets plus larges sur les coûts des loyers et l’accès au logement des classes populaires voire moyennes, sont de plus en plus présentes dans le débat public. Entre 2000 et 2012, plus de 30 000 appartements ont été vendus au sein de Nantes Métropole. Mais qui sont les acheteur·ses sur cette période et d’où viennent-illes ? Cette planche se penche sur cette dimension socio-résidentielle de la métropolisation nantaise.
Étienne Walker, 2022 : « La métropolisation nantaise au prisme des achats d’appartements (1/3). Des cadres locaux aux « Parisien·nes », une socio-géographie des acheteur·ses », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 13/05/2022, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=765, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.765.
Toutes les planches de :
Étienne Walker- La métropolisation nantaise au prisme des achats d’appartement (3/3). La fabrique des prix immobiliers
- La métropolisation nantaise au prisme des achats d’appartements (2/3). Des marchand·es de bien et SCI qui investissent en centre-ville, des services publics et administrations qui s’excentrent
- La métropolisation nantaise au prisme des achats d’appartements (1/3). Des cadres locaux aux « Parisien·nes », une socio-géographie des acheteur·ses
Annexes (1)
Les travailleuses des classes populaires de la métropole nantaise : plus nombreuses que les hommes mais invisibles
par Eve Meuret-Campfort et Nicolas Raimbault
publiée le : 25 novembre 2022
Les travailleuses des classes populaires de la métropole nantaise : plus nombreuses que les hommes mais invisibles
Résumé : fr
« Premières de corvées » dans les hôpitaux ou les commerces, les travailleuses ont été mises en lumière pendant la crise sanitaire, comme en témoigne notamment le film Debout les femmes de François Ruffin. Cette reconnaissance – toute relative – souligne l’invisibilité qui touche les femmes de classes populaires habituellement. En s’intéressant de près à plusieurs catégories d’employées hautement féminisés, cette planche vise à mieux saisir leur place dans la métropole nantaise et leur expérience de celle-ci.
Eve Meuret-Campfort et Nicolas Raimbault, 2022 : « Les travailleuses des classes populaires de la métropole nantaise : plus nombreuses que les hommes mais invisibles », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 25/11/2022, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=848, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.848.
Toutes les planches de :
Nicolas Raimbault- Les livreurs de repas (1/2) : l’ubérisation d’une fraction des classes populaires nantaises
- À Montbert contre Amazon et son monde, géographie de la mobilisation d’une coalition inédite
- Quand Amazon arrive en ville. Trois nuances de politisation de l’aménagement économique autour de la métropole de Nantes
- Les travailleuses des classes populaires de la métropole nantaise : plus nombreuses que les hommes mais invisibles
- Emplois et lieux de travail des classes populaires de la métropole nantaise : géographie des clivages professionnels et de genre
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
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