Distinguer des groupes sociaux
Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (3/3). La quête d'égalité de droits au risque de la cisnormativité et de l’effacement des lieux identitaires (2000-2024)
par Alain Léobon
publiée le : 16 mai 2024
Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (3/3). La quête d'égalité de droits au risque de la cisnormativité et de l’effacement des lieux identitaires (2000-2024)
Résumé : fr
Les années 2000 ouvrent un cycle de revendications visant une plus stricte égalité des droits LGBTQIA+, le mariage entre conjoints de même sexe ou l’accès à l’homoparentalité donnant la possibilité aux personnes de diversité sexuelle et de genre de rejoindre un modèle jusqu’alors hétéro et cis normatif. Ces avancées ont favorisé l’enrichissement et le renouvellement de la scène associative s’orientant sur des objets devenus prioritaires, comme la lutte contre les discriminations, le sexisme, les identités de genre ou le bien-vieillir.
Alain Léobon, 2024 : « Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (3/3). La quête d'égalité de droits au risque de la cisnormativité et de l’effacement des lieux identitaires (2000-2024) », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 07/06/2024, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=1009, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.1009.
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Alain Léobon- Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (3/3). La quête d'égalité de droits au risque de la cisnormativité et de l’effacement des lieux identitaires (2000-2024)
- Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (2/3). L’accès à liberté marginale et la production de lieux identitaires du milieu des années 80 au nouveau millénaire.
- Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (1/3). Les années 1970, de la liberté interstitielle à la liberté marginale
Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (1/3). Les années 1970, de la liberté interstitielle à la liberté marginale
par Alain Léobon
publiée le : 15 mai 2024
Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (1/3). Les années 1970, de la liberté interstitielle à la liberté marginale
Résumé : fr
Dans l’espace urbain nantais, quels sont les lieux de visibilité, de sociabilité et d’existence produits ou investis par les personnes appartenant à différentes catégories de diversité sexuelle ou de genre, qui sont regroupées sous le label LGBTQIA+ (Lesbiennes, Gays, Bisexuel·les, Trans, Queers et Intersexes et Asexuel·les) ? Pour répondre à cette question, cette planche et les deux suivantes proposent une cartographie fine qui s’appuie sur trois périodes clés : de la fin des années 1970 au début des années 1980, de la fin des années 1990 à l’aube du nouveau siècle puis des années 2000 à aujourd’hui.
Alain Léobon, 2024 : « Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (1/3). Les années 1970, de la liberté interstitielle à la liberté marginale », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 07/06/2024, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=989, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.989.
Toutes les planches de :
Alain Léobon- Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (3/3). La quête d'égalité de droits au risque de la cisnormativité et de l’effacement des lieux identitaires (2000-2024)
- Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (2/3). L’accès à liberté marginale et la production de lieux identitaires du milieu des années 80 au nouveau millénaire.
- Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (1/3). Les années 1970, de la liberté interstitielle à la liberté marginale
Annexes (1)
Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (2/3). L’accès à liberté marginale et la production de lieux identitaires du milieu des années 80 au nouveau millénaire.
par Alain Léobon
publiée le : 15 mai 2024
Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (2/3). L’accès à liberté marginale et la production de lieux identitaires du milieu des années 80 au nouveau millénaire.
Résumé : fr
Les années 1980 initient une seconde étape pour la scène LGBTQIA+ nantaise, qui voit éclore un tissu commercial identitaire et un scène associative diversifiée. Accédant à une forme de liberté « marginale » en référence aux travaux d’Abraham Moles, les personnes de diversité sexuelle et de genre disposent alors d’un champ d’expression qu’elles ont conquis. C’est aussi le temps des réformes favorisant l’émergence d’un tissu commercial, dont les gérants s’affirment plus souvent comme gays ou lesbiennes, tandis qu’un secteur associatif en mutation s’implique dans la lutte contre le Sida.
Alain Léobon, 2024 : « Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (2/3). L’accès à liberté marginale et la production de lieux identitaires du milieu des années 80 au nouveau millénaire. », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 07/06/2024, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=1004, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.1004.
Toutes les planches de :
Alain Léobon- Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (3/3). La quête d'égalité de droits au risque de la cisnormativité et de l’effacement des lieux identitaires (2000-2024)
- Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (2/3). L’accès à liberté marginale et la production de lieux identitaires du milieu des années 80 au nouveau millénaire.
- Une géographie en mouvement des lieux LGBTQIA+ nantais (1/3). Les années 1970, de la liberté interstitielle à la liberté marginale
Mots-Clefs
Les livreurs de repas nantais (2/2) : divisions racialisées et degrés de précarité internes au groupe
par Claire Burban
publiée le : 11 mars 2024
Les livreurs de repas nantais (2/2) : divisions racialisées et degrés de précarité internes au groupe
Résumé : fr
Le travail de la livraison de repas instantanée s’effectue principalement dans le cœur des grandes agglomérations. Dans ces espaces publics où la diversité sociale est forte, les espaces de travail des livreurs sont particulièrement contraints et soumis à des formes concurrentes d’appropriation. En quoi ces modalités d’appropriation de l’espace urbain contribuent-elles à structurer ce groupe de travailleurs ? Comment révèlent-elles les dynamiques d’unification et de division qui le traversent ?
Claire Burban, 2024 : « Les livreurs de repas nantais (2/2) : divisions racialisées et degrés de précarité internes au groupe », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 11/03/2024, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=974, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.974.
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Annexes (1)
Les livreurs de repas (1/2) : l’ubérisation d’une fraction des classes populaires nantaises
par Claire Burban, Nicolas Raimbault et Hugo Botton
publiée le : 15 février 2024
Les livreurs de repas (1/2) : l’ubérisation d’une fraction des classes populaires nantaises
Résumé : fr
En quelques années, la livraison de repas instantanée s’est installée dans les modes de consommation de certains urbains, au point que durant la crise sanitaire du Covid-19, les livreurs ont été désignés comme « travailleurs essentiels ». Paradoxalement, on connaît mal la géographie et les propriétés sociales de ce groupe professionnel aujourd’hui incontournable dans l’espace nantais. Qui sont les livreurs de repas ? Où travaillent et résident-ils ? Quel est leur ancrage au sein des mondes populaires nantais ?
Claire Burban, Nicolas Raimbault et Hugo Botton, 2024 : « Les livreurs de repas (1/2) : l’ubérisation d’une fraction des classes populaires nantaises », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 15/02/2024, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=965, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.965.
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Nicolas Raimbault- Les livreurs de repas (1/2) : l’ubérisation d’une fraction des classes populaires nantaises
- À Montbert contre Amazon et son monde, géographie de la mobilisation d’une coalition inédite
- Quand Amazon arrive en ville. Trois nuances de politisation de l’aménagement économique autour de la métropole de Nantes
- Les travailleuses des classes populaires de la métropole nantaise : plus nombreuses que les hommes mais invisibles
- Emplois et lieux de travail des classes populaires de la métropole nantaise : géographie des clivages professionnels et de genre
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
- Les livreurs de repas nantais (2/2) : divisions racialisées et degrés de précarité internes au groupe
- Les livreurs de repas (1/2) : l’ubérisation d’une fraction des classes populaires nantaises
Mots-Clefs
Annexes (1)
La situation des mineur.es non accompagné.es en Loire Atlantique depuis 2014
par Julien Long
publiée le : 06 janvier 2023
La situation des mineur.es non accompagné.es en Loire Atlantique depuis 2014
Résumé : fr
La question des jeunes isolé.es étranger.es est devenue depuis 2014 un enjeu politique et social de premier plan en Loire-Atlantique. Territoire situé historiquement à l’écart des migrations juvéniles, il a connu une forte augmentation du nombre de ces mineur.es exilé.es au sein de ses effectifs de protection de l’enfance. Entre protection et rejet, ces jeunes se retrouvent pris.es en étau face à leur désir d’avenir et au morcellement de leur trajectoire institutionnelle.
Julien Long, 2023 : « La situation des mineur.es non accompagné.es en Loire Atlantique depuis 2014 », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 06/01/2023, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=862, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.862.
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Julien LongIndex géo
Annexes (1)
Les travailleuses des classes populaires de la métropole nantaise : plus nombreuses que les hommes mais invisibles
par Eve Meuret-Campfort et Nicolas Raimbault
publiée le : 25 novembre 2022
Les travailleuses des classes populaires de la métropole nantaise : plus nombreuses que les hommes mais invisibles
Résumé : fr
« Premières de corvées » dans les hôpitaux ou les commerces, les travailleuses ont été mises en lumière pendant la crise sanitaire, comme en témoigne notamment le film Debout les femmes de François Ruffin. Cette reconnaissance – toute relative – souligne l’invisibilité qui touche les femmes de classes populaires habituellement. En s’intéressant de près à plusieurs catégories d’employées hautement féminisés, cette planche vise à mieux saisir leur place dans la métropole nantaise et leur expérience de celle-ci.
Eve Meuret-Campfort et Nicolas Raimbault, 2022 : « Les travailleuses des classes populaires de la métropole nantaise : plus nombreuses que les hommes mais invisibles », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 25/11/2022, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=848, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.848.
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Nicolas Raimbault- Les livreurs de repas (1/2) : l’ubérisation d’une fraction des classes populaires nantaises
- À Montbert contre Amazon et son monde, géographie de la mobilisation d’une coalition inédite
- Quand Amazon arrive en ville. Trois nuances de politisation de l’aménagement économique autour de la métropole de Nantes
- Les travailleuses des classes populaires de la métropole nantaise : plus nombreuses que les hommes mais invisibles
- Emplois et lieux de travail des classes populaires de la métropole nantaise : géographie des clivages professionnels et de genre
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
Mots-Clefs
Annexes (1)
Emplois et lieux de travail des classes populaires de la métropole nantaise : géographie des clivages professionnels et de genre
publiée le : 25 avril 2022
Emplois et lieux de travail des classes populaires de la métropole nantaise : géographie des clivages professionnels et de genre
Résumé : fr
La pandémie du Covid 19 a produit un effet de loupe inédit sur ceux qui ont été politiquement et médiatiquement nommés les « travailleurs essentiels ». Derrière cette expression, on retrouve des emplois majoritairement occupés par les classes populaires, à la fois les ouvrier·e·s, de l’industrie, de l’agriculture, de la construction et de la logistique, et les employé·e·s de certains services à la personne et des services directs à la consommation (caisses, réassortiment). Pendant les confinements, ils ont dû continuer à se rendre sur leur lieu de travail ou à exercer leurs activités dans l’espace public, depuis les centres urbains jusqu’aux périphéries métropolitaines.
Nicolas Raimbault, 2022 : « Emplois et lieux de travail des classes populaires de la métropole nantaise : géographie des clivages professionnels et de genre », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 25/04/2022, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=752, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.752.
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Nicolas Raimbault- Les livreurs de repas (1/2) : l’ubérisation d’une fraction des classes populaires nantaises
- À Montbert contre Amazon et son monde, géographie de la mobilisation d’une coalition inédite
- Quand Amazon arrive en ville. Trois nuances de politisation de l’aménagement économique autour de la métropole de Nantes
- Les travailleuses des classes populaires de la métropole nantaise : plus nombreuses que les hommes mais invisibles
- Emplois et lieux de travail des classes populaires de la métropole nantaise : géographie des clivages professionnels et de genre
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
Annexes (1)
Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
par Nicolas Raimbault, Jean Rivière et Christophe Batardy
publiée le : 07 avril 2022
Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
Résumé : fr
En 2017, les classes populaires rassemblent 45 % de la population de la métropole nantaise. Malgré leur nombre, elles tendent à être de moins en moins visibles dans bien des espaces de la métropole. Entre éviction du centre de la métropole, paupérisation des quartiers de logements sociaux et périurbanisation de plus en plus marquée, les classes populaires connaissent des dynamiques résidentielles contrastées.
Nicolas Raimbault, Jean Rivière et Christophe Batardy, 2022 : « Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 07/04/2022, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=747, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.747.
Toutes les planches de :
Christophe Batardy- Risques et traces industriels dans la ville
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
- Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (1/2). Une approche par les indices de ségrégation
- La géographie sociale des travailleurs pauvres nantais
- Avant la « voiture pour tous »
- Qui est responsable des inégalités d’impacts écologiques ?
- Comprendre l’abstention par la géographie sociale de Nantes-Métropole
- La victoire de l’Union de la gauche aux élections municipales de Nantes en 1977 : la fin de la « Troisième force »
- Les déchets nantais : exportations et flux cachés du métabolisme urbain
- Les âges dans la ville. Quels clivages démographiques dans l’aire d’attraction nantaise ?
- Importer les conflits d’aménagement sur la scène électorale. La campagne municipale de la liste «Nantes en Commun·e·s» en 2020
- La présidentielle 2022 au microscope. Continuités et ruptures avec le paysage électoral antérieur dans la Métropole
- Un jardin à tout prix ? Acquéreurs de maisons et terrains à bâtir dans l’aire urbaine de Nantes (2000-2012)
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Des configurations électorales en mouvement sous l’effet de la métropolisation (1974-2017)
- Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
- Les mutations de la géographie des prix de l’immobilier résidentiel
- Municipales 2020 à Nantes : un premier tour anxiogène avant confinement
- Quels clivages socioprofessionnels dans la métropole nantaise aujourd’hui ?
- Retour sur le paysage municipal nantais en 2014
- Comprendre l’abstention par la géographie sociale de Nantes-Métropole
- L'Atlas social de la métropole nantaise : le projet
- Les livreurs de repas (1/2) : l’ubérisation d’une fraction des classes populaires nantaises
- À Montbert contre Amazon et son monde, géographie de la mobilisation d’une coalition inédite
- Quand Amazon arrive en ville. Trois nuances de politisation de l’aménagement économique autour de la métropole de Nantes
- Les travailleuses des classes populaires de la métropole nantaise : plus nombreuses que les hommes mais invisibles
- Emplois et lieux de travail des classes populaires de la métropole nantaise : géographie des clivages professionnels et de genre
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
par Nicolas Raimbault et Christophe Batardy
publiée le : 31 mars 2022
Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
Résumé : fr
Dans les discours médiatiques et le débat public, les métropoles sont couramment décrites comme l’espace des classes supérieures. Pourtant, les classes populaires qui regroupent les ouvrier·e·s et les employé·e·s, soit près de 13 millions d’actifs en 2017 en France, un nombre globalement stable depuis 1982, représentent encore aujourd’hui la moitié de la population des métropoles françaises. Avec 45 % de sa population appartenant aux classes populaires, l’aire urbaine nantaise ne déroge pas à la règle. Leurs espaces s’inscrivent dans la mosaïque des clivages socioprofessionnels de la métropole nantaise.
Nicolas Raimbault et Christophe Batardy, 2022 : « Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 31/03/2022, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=737, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.737.
Toutes les planches de :
Christophe Batardy- Risques et traces industriels dans la ville
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
- Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (1/2). Une approche par les indices de ségrégation
- La géographie sociale des travailleurs pauvres nantais
- Avant la « voiture pour tous »
- Qui est responsable des inégalités d’impacts écologiques ?
- Comprendre l’abstention par la géographie sociale de Nantes-Métropole
- La victoire de l’Union de la gauche aux élections municipales de Nantes en 1977 : la fin de la « Troisième force »
- Les déchets nantais : exportations et flux cachés du métabolisme urbain
- Les livreurs de repas (1/2) : l’ubérisation d’une fraction des classes populaires nantaises
- À Montbert contre Amazon et son monde, géographie de la mobilisation d’une coalition inédite
- Quand Amazon arrive en ville. Trois nuances de politisation de l’aménagement économique autour de la métropole de Nantes
- Les travailleuses des classes populaires de la métropole nantaise : plus nombreuses que les hommes mais invisibles
- Emplois et lieux de travail des classes populaires de la métropole nantaise : géographie des clivages professionnels et de genre
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
Annexes (1)
Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
par Jean Rivière et Christophe Batardy
publiée le : 14 mars 2022
Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
Résumé : fr
À Nantes comme dans la plupart des métropoles attractives, l’embourgeoisement ou la gentrification de l’espace urbain sont de plus en plus évoqués dans le débat public local, tout comme leurs effets en matière d’exclusion des classes populaires à mesure que les prix de l’immobilier augmentent. Dans le prolongement de la lecture évolutive des divisions socioprofessionnelles dans l’aire urbaine, cette planche revient plus en détail sur les quartiers qui connaissent différents types d’embourgeoisement, afin de bien comprendre de quoi il est question.
Jean Rivière et Christophe Batardy, 2022 : « Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ? », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 14/03/2022, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=711, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.711.
Toutes les planches de :
Christophe Batardy- Risques et traces industriels dans la ville
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
- Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (1/2). Une approche par les indices de ségrégation
- La géographie sociale des travailleurs pauvres nantais
- Avant la « voiture pour tous »
- Qui est responsable des inégalités d’impacts écologiques ?
- Comprendre l’abstention par la géographie sociale de Nantes-Métropole
- La victoire de l’Union de la gauche aux élections municipales de Nantes en 1977 : la fin de la « Troisième force »
- Les déchets nantais : exportations et flux cachés du métabolisme urbain
- Les âges dans la ville. Quels clivages démographiques dans l’aire d’attraction nantaise ?
- Importer les conflits d’aménagement sur la scène électorale. La campagne municipale de la liste «Nantes en Commun·e·s» en 2020
- La présidentielle 2022 au microscope. Continuités et ruptures avec le paysage électoral antérieur dans la Métropole
- Un jardin à tout prix ? Acquéreurs de maisons et terrains à bâtir dans l’aire urbaine de Nantes (2000-2012)
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Des configurations électorales en mouvement sous l’effet de la métropolisation (1974-2017)
- Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
- Les mutations de la géographie des prix de l’immobilier résidentiel
- Municipales 2020 à Nantes : un premier tour anxiogène avant confinement
- Quels clivages socioprofessionnels dans la métropole nantaise aujourd’hui ?
- Retour sur le paysage municipal nantais en 2014
- Comprendre l’abstention par la géographie sociale de Nantes-Métropole
- L'Atlas social de la métropole nantaise : le projet
Annexes (1)
Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
par Jean Rivière et Christophe Batardy
publiée le : 02 mars 2022
Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
Résumé : fr
Les travaux portant sur la division sociale de l’espace sont souvent marqués par une faible profondeur historique, mais ils permettent cependant de connaître l’état, à un instant T, de l’inégale répartition des groupes socioprofessionnels dans les mondes urbains. Alors que les « fractures géographiques » de la société française sont souvent évoquées dans le débat public sur un mode sensationnaliste, cette planche propose une analyse de l’évolution des divisions socioprofessionnelles de l’aire urbaine nantaise sur quarante ans (1975-2015), afin de mesurer précisément les dynamiques en cours.
Jean Rivière et Christophe Batardy, 2022 : « Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 02/03/2022, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=708, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.708.
Toutes les planches de :
Christophe Batardy- Risques et traces industriels dans la ville
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
- Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (1/2). Une approche par les indices de ségrégation
- La géographie sociale des travailleurs pauvres nantais
- Avant la « voiture pour tous »
- Qui est responsable des inégalités d’impacts écologiques ?
- Comprendre l’abstention par la géographie sociale de Nantes-Métropole
- La victoire de l’Union de la gauche aux élections municipales de Nantes en 1977 : la fin de la « Troisième force »
- Les déchets nantais : exportations et flux cachés du métabolisme urbain
- Les âges dans la ville. Quels clivages démographiques dans l’aire d’attraction nantaise ?
- Importer les conflits d’aménagement sur la scène électorale. La campagne municipale de la liste «Nantes en Commun·e·s» en 2020
- La présidentielle 2022 au microscope. Continuités et ruptures avec le paysage électoral antérieur dans la Métropole
- Un jardin à tout prix ? Acquéreurs de maisons et terrains à bâtir dans l’aire urbaine de Nantes (2000-2012)
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Des configurations électorales en mouvement sous l’effet de la métropolisation (1974-2017)
- Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
- Les mutations de la géographie des prix de l’immobilier résidentiel
- Municipales 2020 à Nantes : un premier tour anxiogène avant confinement
- Quels clivages socioprofessionnels dans la métropole nantaise aujourd’hui ?
- Retour sur le paysage municipal nantais en 2014
- Comprendre l’abstention par la géographie sociale de Nantes-Métropole
- L'Atlas social de la métropole nantaise : le projet
Annexes (1)
Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (1/2). Une approche par les indices de ségrégation
par François Madoré et Christophe Batardy
publiée le : 11 février 2022
Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (1/2). Une approche par les indices de ségrégation
Résumé : fr
Les travaux portant sur la division sociale de l’espace sont souvent marqués par une faible profondeur historique, mais ils permettent cependant de connaître l’état, à un instant T, de l’inégale répartition des groupes socioprofessionnels dans les mondes urbains. Alors que les « fractures géographiques » de la société française sont souvent évoquées dans le débat public sur un mode sensationnaliste, cette planche propose une analyse de l’évolution des divisions socioprofessionnelles de l’aire urbaine nantaise sur quarante ans (1975-2015), afin de mesurer précisément les dynamiques en cours.
François Madoré et Christophe Batardy, 2022 : « Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (1/2). Une approche par les indices de ségrégation », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 11/02/2022, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=702, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.702.
Toutes les planches de :
François Madoré- Des ateliers d’autoréparation de vélo concentrés dans le cœur de Nantes Métropole
- Les âges dans la ville. Quels clivages démographiques dans l’aire d’attraction nantaise ?
- La dynamique démographique de l’aire urbaine nantaise (1/2). Une forte croissance dans la ville-centre mais un mouvement centrifuge affirmé
- La dynamique démographique de l’aire urbaine nantaise (2/2). Les oscillations de l’onde de croissance entre affirmation d’une banlieue et périurbanisation
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (1/2). Une approche par les indices de ségrégation
- À Nantes, une pratique du vélo en plein essor mais encore marginale dans les modes de déplacement
- Le retour en grâce du tramway... sans remise en cause de l’hégémonie de la voiture
- Une onde de vieillissement forte dans les communes de banlieue
- Les promoteurs privilégient les centres urbains pour construire les résidences seniors
- Des familles monoparentales plus nombreuses et concentrées dans le logement social
- L’internationalisation de la métropole vue à travers le trafic passagers de son aéroport
- Le périurbain, l’espace des couples avec enfants
- La voiture partout dans l’aire urbaine et plus encore dans le périurbain
- L'Atlas social de la métropole nantaise : le projet
- La multiplication des évènements de courses à pied, un véritable phénomène de société
- Des ménages de plus en plus petits et une hausse spectaculaire des personnes seules
- Un parc de logement profondément transformé sous l’effet de l’étalement urbain
- Les rues privées : entre banalisation géographique et poches de concentration
- Risques et traces industriels dans la ville
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
- Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (1/2). Une approche par les indices de ségrégation
- La géographie sociale des travailleurs pauvres nantais
- Avant la « voiture pour tous »
- Qui est responsable des inégalités d’impacts écologiques ?
- Comprendre l’abstention par la géographie sociale de Nantes-Métropole
- La victoire de l’Union de la gauche aux élections municipales de Nantes en 1977 : la fin de la « Troisième force »
- Les déchets nantais : exportations et flux cachés du métabolisme urbain
Annexes (1)
Des Batignolles à La Halvêque : des solidarités ouvrières à la disqualification sociale
par Elvire Bornand et Frédérique Letourneux
publiée le : 14 novembre 2021
Des Batignolles à La Halvêque : des solidarités ouvrières à la disqualification sociale
Résumé : fr
En 2017, les habitants du quartier Beaujoire-Halvêque découvrent un projet urbain de grande ampleur nommé Yellow Park. Ce projet inclue la construction d’immeubles d’habitations, de bureaux et d’un nouveau stade de foot. Les riverains s’engagent dans la concertation avec le but affirmé d’enterrer ce projet. Dans leurs discours, ils invoquent l’histoire ouvrière du quartier et de ces cités en bois. Pourtant, les habitants de la Halvêque, la cité HLM édifiée sur les ruines d’une des cités en bois, resteront les grands absents du dispositif de participation. Que reste-il aujourd’hui des solidarités populaires célébrées lors de cette controverse urbaine ?
Elvire Bornand et Frédérique Letourneux, 2021 : « Des Batignolles à La Halvêque : des solidarités ouvrières à la disqualification sociale », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 15/11/2021, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=661, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.661.
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Elvire Bornand et Frédérique LetourneuxAnnexes (1)
La trajectoire d’habiter de S. mineur isolé étranger dans la métropole nantaise
par Sabryn Daiki, Élise Roy et Théo Fort-Jacques
publiée le : 18 février 2021
La trajectoire d’habiter de S. mineur isolé étranger dans la métropole nantaise
Résumé : fr
C’est six mois après son arrivée à Nantes que S., un mineur isolé d’origine Bengali, a bien voulu retracer chronologiquement les différentes étapes de sa trajectoire résidentielle dans l’espace métropolitain nantais. Nécessairement singulier, son chemin dessine une géographie intime dont les contours laissent néanmoins percevoir les conditions d’accueil à la nantaise.
Sabryn Daiki, Élise Roy et Théo Fort-Jacques, 2021 : « La trajectoire d’habiter de S. mineur isolé étranger dans la métropole nantaise », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 18/02/2021, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=572, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.572.
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Sabryn Daiki- La trajectoire d’habiter de S. mineur isolé étranger dans la métropole nantaise
- Pratiques spatiales et imaginaires des personnes exilées
- Retour sur les trajectoires d’habiter des personnes exilées du square Daviais
- La trajectoire d’habiter de S. mineur isolé étranger dans la métropole nantaise
- Pratiques spatiales et imaginaires des personnes exilées
- Retour sur les trajectoires d’habiter des personnes exilées du square Daviais
Annexes (1)
Pratiques spatiales et imaginaires des personnes exilées
par Sabryn Daiki, Élise Roy et Théo Fort-Jacques
publiée le : 12 février 2021
Pratiques spatiales et imaginaires des personnes exilées
Résumé : fr
Dans l’esprit des travaux de l’urbaniste Kevin Lynch qui définissait « l’image collective » comme une représentation mentale commune à un groupe d’habitants d’une ville, cette planche appréhende un imaginaire partagé par les personnes exilées du square Daviais. La carte proposée est une synthèse des cartes mentales produite par d’anciens habitants du square Daviais, un an et demi après leur arrivée à Nantes. Cette proposition cartographique se veut une représentation sensible de Nantes telle qu’elle est pratiquée et perçue par ce groupe d’hommes. Loin des cartes classiques, la carte qui émerge de ces entretiens, entre science, art et militantisme, n’a finalement qu’une ambition : présenter une traduction possible du réel.
Sabryn Daiki, Élise Roy et Théo Fort-Jacques, 2021 : « Pratiques spatiales et imaginaires des personnes exilées », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 12/02/2021, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=560, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.560.
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Sabryn Daiki- La trajectoire d’habiter de S. mineur isolé étranger dans la métropole nantaise
- Pratiques spatiales et imaginaires des personnes exilées
- Retour sur les trajectoires d’habiter des personnes exilées du square Daviais
- La trajectoire d’habiter de S. mineur isolé étranger dans la métropole nantaise
- Pratiques spatiales et imaginaires des personnes exilées
- Retour sur les trajectoires d’habiter des personnes exilées du square Daviais
Index géo
Annexes (1)
Retour sur les trajectoires d’habiter des personnes exilées du square Daviais
par Sabryn Daiki, Élise Roy et Théo Fort-Jacques
publiée le : 04 février 2021
Retour sur les trajectoires d’habiter des personnes exilées du square Daviais
Résumé : fr
Le camp de personnes exilées qui s’est improvisé au square Daviais à l’été 2018 constitue l’une des manifestations les plus tangibles de la « crise de l’accueil » à Nantes. Cet évènement a mis en lumière de nouvelles géographies d’habiter, celles des personnes exilées. Cet habiter se révèle temporaire, fragile et parfois même illégal. Ici et là, pour de courts ou longs instants, les personnes exilées ont engagé des relations sociales, se sont appropriées un « chez-soi », ont investi un lieu de consommation ou d’échange.
Sabryn Daiki, Élise Roy et Théo Fort-Jacques, 2021 : « Retour sur les trajectoires d’habiter des personnes exilées du square Daviais », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 04/02/2021, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=552, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.552.
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Sabryn Daiki- La trajectoire d’habiter de S. mineur isolé étranger dans la métropole nantaise
- Pratiques spatiales et imaginaires des personnes exilées
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- La trajectoire d’habiter de S. mineur isolé étranger dans la métropole nantaise
- Pratiques spatiales et imaginaires des personnes exilées
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Mots-Clefs
Index géo
Annexes (1)
Du LU au square Daviais, chronique des mobilisations pour l’hébergement des étrangers à Nantes (2012-2018)
par Julien Long
publiée le : 29 janvier 2021
Du LU au square Daviais, chronique des mobilisations pour l’hébergement des étrangers à Nantes (2012-2018)
Résumé : fr
Avec la régionalisation de la demande d’asile dès 2006 puis la fermeture des plateformes départementales en 2012, les demandes d’asile augmentent de 157 % en Loire Atlantique entre 2009 et 2011. Après les espoirs déçus du quinquennat de F. Hollande, des collectifs regroupant diverses organisations de la cause des étrangers occupent successivement des interstices urbains de l’espace nantais. La ville accueillante se dessine dans la succession des cycles d’occupation/expulsion de la période 2012-2018.
Julien Long, 2021 : « Du LU au square Daviais, chronique des mobilisations pour l’hébergement des étrangers à Nantes (2012-2018) », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 29/01/2021, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=541, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.541.
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Julien LongAnnexes (1)
La ville attractive et la place des étrangers à Nantes (1989-2012)
par Julien Long
publiée le : 22 janvier 2021
La ville attractive et la place des étrangers à Nantes (1989-2012)
Résumé : fr
À Nantes, l’hospitalité demeure un enjeu politique de longue date, en témoigne la devise de la ville « Neptune favorise ceux qui voyagent ». Suite à l’élection de J.-M. Ayrault en 1989, l’accueil des étrangers devient un des rouages de la politique d’attractivité de la ville (rénovation mémorielle du passé négrier et promotion d’une ville ouverte sur le monde). Au-delà de l’image d’une ville hospitalière et cosmopolite, les mobilisations sociales pour la cause des étrangers, mais aussi autour de la mémoire coloniale de la ville, façonnent une hospitalité à la nantaise, débordant parfois cette politique municipale volontariste.
Julien Long, 2021 : « La ville attractive et la place des étrangers à Nantes (1989-2012) », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 22/01/2021, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=530, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.530.
Toutes les planches de :
Julien LongAnnexes (1)
La géographie sociale des travailleurs pauvres nantais
par Claire Auzuret et Christophe Batardy
publiée le : 13 octobre 2020
La géographie sociale des travailleurs pauvres nantais
Résumé : fr
Selon une vision largement répandue dans le grand public, les centres des métropoles françaises seraient peuplés de familles aisées, et leurs quartiers seraient pour la plupart en voie de gentrification ou d’embourgeoisement. Or les travailleurs pauvres sont nombreux à résider au cœur des mondes urbains, y compris les plus dynamiques économiquement. Alors que l’on s’attendrait à ce que la majorité d’entre eux réside dans les grands ensembles du parc public d’habitat social et bénéficie d’aides au logement, l’analyse de leur répartition dans les quartiers nantais montre une réalité plus complexe.
Claire Auzuret et Christophe Batardy, 2020 : « La géographie sociale des travailleurs pauvres nantais », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 13/10/2020, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=473, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.473.
Toutes les planches de :
Christophe Batardy- Risques et traces industriels dans la ville
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
- Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (1/2). Une approche par les indices de ségrégation
- La géographie sociale des travailleurs pauvres nantais
- Avant la « voiture pour tous »
- Qui est responsable des inégalités d’impacts écologiques ?
- Comprendre l’abstention par la géographie sociale de Nantes-Métropole
- La victoire de l’Union de la gauche aux élections municipales de Nantes en 1977 : la fin de la « Troisième force »
- Les déchets nantais : exportations et flux cachés du métabolisme urbain
Annexes (1)
La violence des inégalités de revenus
par Isabelle Garat
publiée le : 17 avril 2020
La violence des inégalités de revenus
Résumé : fr
La sociologie de la ville de Nantes et de son agglomération a profondément changé, en quarante ans la ville portuaire est devenue une ville de cadres et de professions intermédiaires plutôt que d’ouvriers et d’employés. Les revenus fiscaux permettent de compléter cette lecture des catégories socioprofessionnelles en donnant un aperçu de la richesse ou de la pauvreté monétaire et de sa répartition à plusieurs échelles.
Isabelle Garat, 2020 : « La violence des inégalités de revenus », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 17/04/2020, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=424, DOI : en attente.
Toutes les planches de :
Isabelle Garat- Le jardin des Ronces : espace jardiné autogéré contre ZAC métropolitaine
- La géographie du logement social (2/2). Des types de logements sociaux selon les revenus des locataires
- La géographie du logement social (1/2). Un parc insuffisant, mais mieux réparti dans la métropole nantaise
- La violence des inégalités de revenus
- Un parc de logement profondément transformé sous l’effet de l’étalement urbain
Annexes (1)
Quels clivages socioprofessionnels dans la métropole nantaise aujourd’hui ?
par Jean Rivière
publiée le : 26 février 2020
Quels clivages socioprofessionnels dans la métropole nantaise aujourd’hui ?
Résumé : fr
Dans la France contemporaine, la question des inégalités sociales est au coeur du débat public, et elles sont souvent appréhendées au prisme de leur géographie. C’est particulièrement le cas au sein des mondes urbains, où la « ségrégation sociale » et les « divisions sociales de l’espace » sont étudiées à plusieurs échelles, parfois dans le temps, et avec des méthodes et des indicateurs différents. Cette planche propose ainsi un tableau des clivages socioprofessionnels qui structurent l’aire urbaine nantaise en 2016.
Jean Rivière, 2020 : « Quels clivages socioprofessionnels dans la métropole nantaise aujourd’hui ? », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 26/02/2020, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=349, DOI : en attente.
Toutes les planches de :
Jean Rivière- Les âges dans la ville. Quels clivages démographiques dans l’aire d’attraction nantaise ?
- Importer les conflits d’aménagement sur la scène électorale. La campagne municipale de la liste «Nantes en Commun·e·s» en 2020
- La présidentielle 2022 au microscope. Continuités et ruptures avec le paysage électoral antérieur dans la Métropole
- Un jardin à tout prix ? Acquéreurs de maisons et terrains à bâtir dans l’aire urbaine de Nantes (2000-2012)
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Des configurations électorales en mouvement sous l’effet de la métropolisation (1974-2017)
- Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
- Les mutations de la géographie des prix de l’immobilier résidentiel
- Municipales 2020 à Nantes : un premier tour anxiogène avant confinement
- Quels clivages socioprofessionnels dans la métropole nantaise aujourd’hui ?
- Retour sur le paysage municipal nantais en 2014
- Comprendre l’abstention par la géographie sociale de Nantes-Métropole
- L'Atlas social de la métropole nantaise : le projet