Résumé : fr
En 2017, les classes populaires rassemblent 45 % de la population de la métropole nantaise. Malgré leur nombre, elles tendent à être de moins en moins visibles dans bien des espaces de la métropole. Entre éviction du centre de la métropole, paupérisation des quartiers de logements sociaux et périurbanisation de plus en plus marquée, les classes populaires connaissent des dynamiques résidentielles contrastées.
Nicolas Raimbault, Jean Rivière et Christophe Batardy, 2022 : « Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 07/04/2022, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=747, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.747.