pauvreté
La violence des inégalités de revenus
par Isabelle Garat
publiée le : 17 avril 2020
La violence des inégalités de revenus
Résumé : fr
La sociologie de la ville de Nantes et de son agglomération a profondément changé, en quarante ans la ville portuaire est devenue une ville de cadres et de professions intermédiaires plutôt que d’ouvriers et d’employés. Les revenus fiscaux permettent de compléter cette lecture des catégories socioprofessionnelles en donnant un aperçu de la richesse ou de la pauvreté monétaire et de sa répartition à plusieurs échelles.
Isabelle Garat, 2020 : « La violence des inégalités de revenus », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 17/04/2020, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=424, DOI : en attente.
Toutes les planches de :
Isabelle Garat- Le jardin des Ronces : espace jardiné autogéré contre ZAC métropolitaine
- La géographie du logement social (2/2). Des types de logements sociaux selon les revenus des locataires
- La géographie du logement social (1/2). Un parc insuffisant, mais mieux réparti dans la métropole nantaise
- La violence des inégalités de revenus
- Un parc de logement profondément transformé sous l’effet de l’étalement urbain
Annexes (1)
Des familles monoparentales plus nombreuses et concentrées dans le logement social
par François Madoré
publiée le : 23 avril 2020
Des familles monoparentales plus nombreuses et concentrées dans le logement social
Résumé : fr
Les familles monoparentales ont beaucoup augmenté ces dernières décennies, conséquence de la fragilisation de la vie de couple et de la multiplication des ruptures d’unions. Elles sont constituées pour l’essentiel de femmes, ont un niveau de vie inférieur aux couples avec enfant(s) et sont bien plus souvent affectées par la pauvreté, du fait notamment d’un moindre accès à l’emploi. Elles occupent plus souvent un logement locatif social, d’où leur concentration spatiale dans les grands ensembles de la métropole nantaise.
François Madoré, 2020 : « Des familles monoparentales plus nombreuses et concentrées dans le logement social », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 23/04/2020, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=433, DOI : en attente.
Toutes les planches de :
François Madoré- Des ateliers d’autoréparation de vélo concentrés dans le cœur de Nantes Métropole
- Les âges dans la ville. Quels clivages démographiques dans l’aire d’attraction nantaise ?
- La dynamique démographique de l’aire urbaine nantaise (1/2). Une forte croissance dans la ville-centre mais un mouvement centrifuge affirmé
- La dynamique démographique de l’aire urbaine nantaise (2/2). Les oscillations de l’onde de croissance entre affirmation d’une banlieue et périurbanisation
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (1/2). Une approche par les indices de ségrégation
- À Nantes, une pratique du vélo en plein essor mais encore marginale dans les modes de déplacement
- Le retour en grâce du tramway... sans remise en cause de l’hégémonie de la voiture
- Une onde de vieillissement forte dans les communes de banlieue
- Les promoteurs privilégient les centres urbains pour construire les résidences seniors
- Des familles monoparentales plus nombreuses et concentrées dans le logement social
- L’internationalisation de la métropole vue à travers le trafic passagers de son aéroport
- Le périurbain, l’espace des couples avec enfants
- La voiture partout dans l’aire urbaine et plus encore dans le périurbain
- L'Atlas social de la métropole nantaise : le projet
- La multiplication des évènements de courses à pied, un véritable phénomène de société
- Des ménages de plus en plus petits et une hausse spectaculaire des personnes seules
- Un parc de logement profondément transformé sous l’effet de l’étalement urbain
- Les rues privées : entre banalisation géographique et poches de concentration
Annexes (1)
Qui est responsable des inégalités d’impacts écologiques ?
par Jean-Baptiste Bahers, Christophe Batardy et Nassour Yobom
publiée le : 22 mai 2020
Qui est responsable des inégalités d’impacts écologiques ?
Résumé : fr
Des années 1960 à l’« écologisme des pauvres » défini en 2002 par Joan Martinez-Allier à partir de l’exemple des luttes environnementales menées par des classes populaires, un long chemin a été parcouru pour comprendre les relations entre justice sociale et justice environnementale. Il semble ainsi que les dimensions sociales et environnementales des inégalités soient liées. Est-ce le cas dans la région nantaise ? Quels processus étudier et comment l’observer ?
Jean-Baptiste Bahers, Christophe Batardy et Nassour Yobom, 2020 : « Qui est responsable des inégalités d’impacts écologiques ? », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 22/05/2020, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=446, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.446.
Toutes les planches de :
Christophe Batardy- Risques et traces industriels dans la ville
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
- Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (1/2). Une approche par les indices de ségrégation
- La géographie sociale des travailleurs pauvres nantais
- Avant la « voiture pour tous »
- Qui est responsable des inégalités d’impacts écologiques ?
- Comprendre l’abstention par la géographie sociale de Nantes-Métropole
- La victoire de l’Union de la gauche aux élections municipales de Nantes en 1977 : la fin de la « Troisième force »
- Les déchets nantais : exportations et flux cachés du métabolisme urbain
- Risques et traces industriels dans la ville
- Qui est responsable des inégalités d’impacts écologiques ?
- Les déchets nantais : exportations et flux cachés du métabolisme urbain
Mots-Clefs
Annexes (1)
La géographie sociale des travailleurs pauvres nantais
par Claire Auzuret et Christophe Batardy
publiée le : 13 octobre 2020
La géographie sociale des travailleurs pauvres nantais
Résumé : fr
Selon une vision largement répandue dans le grand public, les centres des métropoles françaises seraient peuplés de familles aisées, et leurs quartiers seraient pour la plupart en voie de gentrification ou d’embourgeoisement. Or les travailleurs pauvres sont nombreux à résider au cœur des mondes urbains, y compris les plus dynamiques économiquement. Alors que l’on s’attendrait à ce que la majorité d’entre eux réside dans les grands ensembles du parc public d’habitat social et bénéficie d’aides au logement, l’analyse de leur répartition dans les quartiers nantais montre une réalité plus complexe.
Claire Auzuret et Christophe Batardy, 2020 : « La géographie sociale des travailleurs pauvres nantais », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 13/10/2020, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=473, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.473.
Toutes les planches de :
Christophe Batardy- Risques et traces industriels dans la ville
- Les dynamiques résidentielles des classes populaires au sein de la métropole nantaise : logiques de ségrégation et situations de mixité
- Les classes populaires de la métropole nantaise : un groupe social central, une géographie résidentielle doublement périphérique
- Embourgeoisement et/ou gentrification de l’espace nantais, de quoi parle-t-on ?
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (2/2). Une approche par les typologies de quartier
- Les divisions socioprofessionnelles en mouvement d’une métropole attractive (1/2). Une approche par les indices de ségrégation
- La géographie sociale des travailleurs pauvres nantais
- Avant la « voiture pour tous »
- Qui est responsable des inégalités d’impacts écologiques ?
- Comprendre l’abstention par la géographie sociale de Nantes-Métropole
- La victoire de l’Union de la gauche aux élections municipales de Nantes en 1977 : la fin de la « Troisième force »
- Les déchets nantais : exportations et flux cachés du métabolisme urbain
Annexes (1)
Bidonvilles, précarité et antitsiganisme dans l’agglomération nantaise (1/2).
Vivre et habiter en bidonvilles
par Frédéric Barbe et Jade Maillard
publiée le : 25 octobre 2021
Bidonvilles, précarité et antitsiganisme dans l’agglomération nantaise (1/2).
Vivre et habiter en bidonvilles
Résumé : fr
Produit d’une enquête longue et d’un stage de recherche centré sur la cartographie des bidonvilles, cette planche documente l’installation durable d’une vie communautaire racisée en habitat précaire, sans droit ni titre, dans une agglomération en forte croissance dirigée par une majorité de gauche. Ce premier volet décrit les modes d’habiter de leurs habitant·es, dont la précarité matérielle et sociale tranche avec les standards d’une métropole revendiquant l’inclusion et la réussite.
Frédéric Barbe et Jade Maillard, 2021 : « Bidonvilles, précarité et antitsiganisme dans l’agglomération nantaise (1/2).
Vivre et habiter en bidonvilles », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 25/10/2021, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=647, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.647.
Toutes les planches de :
Frédéric Barbe- Nantes Métropole et la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, un couple ouvert à deux battants
- Bidonvilles, précarité et antitsiganisme dans l’agglomération nantaise (2/2)
Politiques publiques et habiter de résistance - Bidonvilles, précarité et antitsiganisme dans l’agglomération nantaise (1/2).
Vivre et habiter en bidonvilles - YelloPark, un projet urbain comme s’il n’avait jamais existé
- Les déchets nantais : exportations et flux cachés du métabolisme urbain
Annexes (1)
Bidonvilles, précarité et antitsiganisme dans l’agglomération nantaise (2/2)
Politiques publiques et habiter de résistance
par Frédéric Barbe et Jade Maillard
publiée le : 08 novembre 2021
Bidonvilles, précarité et antitsiganisme dans l’agglomération nantaise (2/2)
Politiques publiques et habiter de résistance
Résumé : fr
Après une première planche qui documente les modes d’habiter dans les bidonvilles , rendant visible une précarité qui contraste singulièrement avec les standards d’une métropole revendiquant l’inclusion et la réussite, ce second volet décrit les politiques publiques et les habiters de résistance dans et hors le bidonville. Comment, contre les préjugés, le bidonville « fait politique » dans la métropole nantaise ?
Frédéric Barbe et Jade Maillard, 2021 : « Bidonvilles, précarité et antitsiganisme dans l’agglomération nantaise (2/2)
Politiques publiques et habiter de résistance », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise [En ligne], eISSN : 2779-5772, mis à jour le : 08/11/2021, URL : https://asmn.univ-nantes.fr/index.php?id=654, DOI : https://doi.org/10.48649/asmn.654.
Toutes les planches de :
Frédéric Barbe- Nantes Métropole et la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, un couple ouvert à deux battants
- Bidonvilles, précarité et antitsiganisme dans l’agglomération nantaise (2/2)
Politiques publiques et habiter de résistance - Bidonvilles, précarité et antitsiganisme dans l’agglomération nantaise (1/2).
Vivre et habiter en bidonvilles - YelloPark, un projet urbain comme s’il n’avait jamais existé
- Les déchets nantais : exportations et flux cachés du métabolisme urbain
Mots-Clefs
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